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BANA CONGO
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5 avril 2010

Visite royale au Congo

La visite du Souverain belge en R.D.C à l’occasion des festivités du 50ème anniversaire de l’Indépendance du Congo est confirmée. Ainsi en a décidé le gouvernement fédéral belge. Le ²MPOKE² de BAKOLO CONGO en prend acte.

Selon qu’elle a été perçue comme un appui ou non au pouvoir installé à Kinshasa, la question de la visite royale, sujet fort controversé, a opposé des tendances politiques belges, sans consultation d’avis des Congolais. 

Le ²Mpoke² de BAKOLO CONGO, plate-forme politique engagée dans la lutte pour la libération du Congo, ne peut taire son indignation devant l’obstination d’un clan belge d’assumer les échecs patents d’un produit honni du peuple Congolais et décrié par l’Union Européenne, qui perpétue l’idée d’un ²Congo – zone d’influence belge², 50 ans après l’indépendance.

Après la parodie électorale et la manipulation hyper médiatisée d’un des leurs en soutien à J. Kabila, le Cinquantenaire de l’Indépendance du Congo a servi d’aubaine pour rééditer le folklorique ballet dudit clan, semblable à celui qui a été initié lors du cirque électoral en 2006 avec les chefs des partis francophones. Une comédie en deux actes.

Au premier acte, la mission belge conduite par Mme L. Onckelinx, Vice-Première Ministre et Ministre de la Santé, accompagnée des patrons des Mutuelles francophones, s’est inscrite dans l’art de la fascination des projets sociaux en faveur de la santé des populations pour combler le déficit social d’un pouvoir irresponsable.

La mobilisation de cette stratégie dans un secteur aussi sensible pour appâter la population n’a pas caché l’appui que cette mission est venue apporter à un pouvoir connu pour son incapacité, son incompétence, sa mégestion,  la corruption institutionnalisée et le déni de la démocratie.

La démarche elle-même a confirmé que ce pouvoir n’apporte aucune perspective au lamentable sort d’un peuple outrageusement meurtri et qu’il constitue une menace à la survie des populations.

L’objectif de contrer le constat de Karl de Gucht et de l’U.E n’accorde aucun état de grâce à un pouvoir moribond qui a fait toutes ses preuves de médiocrité. Quand bien même il serait adoubé par la visite royale.

Le deuxième acte a vu l’entrée en scène de l’éminent chef du clan, l’activiste Louis Michel en personne, désormais dépouillé de ses lettres de noblesse, mais dont la surestimation d’influence sur les questions congolaises et le goût marqué à la cupidité ne sont plus un secret, ne pouvait manquer au spectacle pour s’exhiber au rôle de « censeur » de la « démocratie » en R.D.C.

Ce parrain de Joseph Kabila, entre autres titres gardés encore, a atteint les sommets du ridicule dans son autosatisfaction des résultats de la « démocratie » qui existe au Congo. Car, pour le Commissaire Européen qu’il est, seule la tenue des débats contradictoires au sein des institutions parlementaires suffit comme critère d’évaluation d’un Etat démocratique.

Pour un Commissaire Européen, il est difficile de nier ou d’ignorer que le rejet des droits et des libertés, le rejet des besoins humanitaires sont le reflet d’un mépris affiché du processus démocratique. La pleine jouissance d’avantages et des libertés, donc des moyens pour influer sur la société et l’avenir, constitue l’atout majeur, la condition qui accompagne toute profession de dévouement sincère à la démocratie. Et, que c’est même dans ce sens, pour combler ces lacunes, que se justifierait la mission de la ministre de santé L. Onckelinx, affublée des patrons des Mutuelles.

Autant dire que la référence de Louis Michel aux débats parlementaires est une aberration. Ou une moquerie de soi-même en compliment de ses propres insuffisances. Les institutions parlementaires de la R.D.C sont connues de tous comme caisse de résonance en subordination constante aux instructions dictées du sommet de l’Etat. Et, l’hémicycle du Parlement congolais a la réputation mondiale de premier foyer de corruption le plus actif en R.D.C et qui a perdu toute crédibilité.

L’imputation causale du déploiement de ce ballet effectué au Congo au regard de la visite royale pour masquer l’état général d’un pays en ruines, participe à la politique de fausses impressions qui contribue à perpétuer le sevrage et la dépendance, 50 ans après l’indépendance.

Le ²MPOKE² fustige l’obstination belge de chercher à conserver une emprise permanente sur le Congo et dénonce la fumisterie de nobles intentions de générosité sur des projets sans couverture sociale budgétisée et dont les conditions infrahumaines des salaires impayés ne permettront pas de s’acquitter des primes d’assurance des mutuelles.

Le ²MPOKE² stigmatise ce manque de décence et l’acharnement poussé jusque dans l’art de retourner la visite royale comme une demande urgente et pressante de la R.D.C.

Ce sujet controversé aux accents cacophoniques cache mal l’hypocrisie du clan des pyromanes qui s’évertuent au pillage systématique de la R.D.C et qui veulent jouer aux sapeurs pompiers au Congo.

En prenant acte de la décision du gouvernement fédéral belge, Le ²MPOKE² interroge les esprits honnêtes sur des questions où il ne saurait y avoir de désaccord.

            1. Quel est le sens de la visite royale au Congo ?

            2. Que peut rapporter la visite royale aux deux peuples ?

            3. Quel est l’avis du peuple Congolais sur ce voyage royal ?

            4. Est-il opportun d’organiser des festivités quand les populations crèvent de faim,

                sont délaissées et vivent dans le dénuement et la misère la plus totale ?

(1) Quel est le sens de la visite royale au Congo ?

Est-il fondé d’espérer que le roi belge Albert II s’en ira reconnaître les torts de la colonisation commis au peuple Congolais par ses ancêtres depuis Léopold II et méconnus par Joseph Kabila, ignorant de l’histoire du Congo, devant le Parlement belge ?

Le roi belge serait-il porteur d’un message alternatif et plus évolutif au débat suscité sur le fait colonial au Sénégal et en Algérie ?

A-t-il la capacité d’effacer des mémoires les souvenirs affreux décrits dans des ouvrages tels que « Du sang sur les lianes » aux nouvelles générations avides de percer les motivations de ces moments sombres de leur histoire ?

Pourra-t-il endosser la charge de réparer l’ingratitude européenne par une citation de Mérite à l’Effort de Guerre de l’ex-Congo belge, devenu R.D.C, et rendre hommage aux vaillants Anciens Combattants de la Force Publique et faire réparation par une indemnisation à leurs descendants ignorés ?

Quel serait le regard de vérité de Sa Majesté le Roi des belges sur la responsabilité de la Belgique dans ses choix tragiques pour le Congo depuis l’assassinat de Patrice Emery LUMUMBA et tout le long des 50 ans de l’Indépendance du Congo ?

La visite royale serait-elle susceptible de créer la sérénité indispensable pour relancer le ²Contentieux belgo-congolais² dictatorialement et complaisamment « enterré » par un dictateur ? Le Congo en ruines a plus que besoin de tous ses moyens.

Peut-on s’attendre à un geste ROYAL d’excuses pour l’implication de la Belgique au Génocide Congolais qui a fait 6 millions de morts comme tout officiel belge s’y sent obligé à chaque passage au Rwandais pour bien moins ?

Le Congo, sans mémorial, sans jour de mémoire ni d’hommage, le pouvoir y régnant par la main belge n’ayant aucun lien avec ces morts, le Roi Albert II pourra-t-il, par compassion, s’unir au Peuple Congolais en ce qu’il a de plus cher dans sa culture et dans ses traditions pour innover en s’inclinant à Tingi-Tingi et devant les fosses communes dans les Kivu, l’Equateur, les deux Kasaï, Kinshasa et le Bas-Congo, dont les sites sont bien connus d’un certain Commandant Hyppo, de son vrai nom Hyppolite KANAMBE, aujourd’hui opportunément rebaptisé Joseph Kabila qui l’accueille ?

Le Roi belge va-t-il appuyer la déclaration courageuse de la Secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton et reconnaître avec elle que la cause de ces guerres et de ces crimes odieux n’a été que la convoitise des richesses minières du Congo ? Sous-entendu que « la chasse aux Hutus » n’est qu’un faux prétexte ?

Enfin, le Roi Albert II aurait-il l’audace d’en citer et d’en condamner les auteurs, co-auteurs, exécuteurs et instigateurs ?

Alors, OUI, cette visite royale aura eu son plein sens !

                                                                                                          BAKOLO CONGO

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J
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R
Bonjour,<br /> Pour les amateurs du théâtre, le rappel d’un crime contre l’humanité sous une forme théâtrale pourrait être perçu, soit comme une hérésie envers l’art, soit comme une approche passionnante et utile pour faire circuler l’information. Toujours est-il que les Editions Anibwé* viennent de publier « Kongo, les mains coupées », une pièce visant à rappeler et commémorer le renversement du gouvernement légitime et démocratique qu’en 1960, dirigeait le Premier Ministre Patrice Lumumba dans la République congolaise naissante.<br /> <br /> La responsabilité des puissances occidentales dans ce crime ne saurait être sérieusement contestée par personne ; alors, personne n’en parle. Les commentateurs, politologues, journalistes et autres spécialistes de l’Afrique, préfèrent insister sur la corruption et présenter l’absence de démocratie, comme une fatalité qui s’expliquerait parce que les Africains ne sont pas encore assez mûrs pour réussir le travail très difficile d’une construction démocratique. Et ce discours, mensonger et grossier, passe néanmoins comme une lettre à la poste, grâce au fait que le plus grand nombre ignore ou a complètement oublié, la manière dont les leaders africains les plus attachés à l’indépendance de leurs pays, à la souveraineté et à la démocratie, furent méthodiquement assassinés parce qu’en Afrique la démocratie est contraire aux intérêts des puissances qui pillent les richesses de ce continent. <br /> <br /> Pour mémoire, il importe de rappeler que, parmi les crimes tragiquement insidieux ayant caractérisé la domination coloniale, mérite spéciale attention la politique de re-tribalisation visant à exacerber les conflits interethniques là où ils existaient ou les créer là où ils n’existaient pas. Cependant, des leaders populaires dont Lumumba, ayant dépassé ces clivages ethniques favorisés par les besoins de la domination impérialiste, travaillèrent à organiser l’ensemble des peuples congolais derrière un objectif national : la libération du Congo et la construction d’une République libre, indépendante et démocratique. Il est assez significatif qu’en 1960, malgré les efforts de la puissance coloniale belge afin de rallumer la haine tribale, la majorité des Congolais firent, néanmoins, le choix de l’indépendance et l’élection d’un gouvernement démocratique. Ce fut le gouvernement dirigé par Patrice Lumumba.<br /> <br /> Par ce choix, auquel nous devons restituer toute sa dimension, les Congolais donnèrent tort voici 50 ans à ce discours colonialiste suivant lequel, il y aurait des peuples qui ne sont pas assez mûrs pour aspirer à vivre en démocratie… Ils montrèrent que, en réalité, n’importe quel peuple est assez mûr pour faire le choix qui lui conviendrait le mieux, pour peu que son droit de choisir librement, sans ingérence, soit respecté. Les Congolais portèrent au pouvoir Patrice Lumumba et ses compagnons du Mouvement National Congolais, parce qu’ils se reconnaissaient dans la démarche de ces hommes qui interprétaient si fidèlement leurs aspirations de liberté, d’indépendance et de démocratie. <br /> <br /> Mais, au 20ème comme au 21ème siècle, les pouvoirs coloniaux ne tolérant pas en Afrique l’existence d’un gouvernement dont la légitimité et le fonctionnement reposaient sur le soutient de son peuple, ils commanditèrent son renversement afin d’étrangler la liberté et mettre fin au processus de démocratisation congolais. Une fois Lumumba et ses compagnons assassinés, les intérêts coloniaux ont été bien servis par des marionnettes mises au pouvoir à cette fin. Depuis, le peuple congolais n’a pas cessé d’être dépouillé de ses richesses et d’être victime de toute sorte de violations à commencer par la violation du droit à la vie. Je vous invite à lire Kongo, les mains coupées et vous fais suivre, en pièce jointe, la couverture. <br /> <br /> Je vous salue fraternellement,<br /> Rosa Amelia <br /> <br /> *Librairie ANIBWE<br /> 52, rue Greneta 75002 Paris<br /> Tél. : 01 45 08 48 33<br /> Métro : Les Halles, Réaumur Sébastopol, Sentier
I
J'ai senti le besoin de répondre à ce titre, à la lecture du texte "visite royale au Congo" une haine de l'auteur envers la Belgique,le Blanc en général, et de Kabila en particulier.<br /> Le Belge a fait ce qui s'est passé il y a des années, cela devrait nous servir de tremplin pour mieux sauter, mais cela n'a pas était ainsi.L'homme blanc ne viendra jamais faire le bonheur de toi un noir nous le savons.<br /> La même haine a existé entrain Français et Allemand, pendant la deuxième guerre mondiale, aujourd'hui ces deux pays sont les pays d'Europe qui s'entendent le plus.Mous congolais, quel leçons avons nous tiré de la colonisation? <br /> j'aimerai connaitre de quel génération appartient ce monsieur ( l'auteur du texte) pour lui poser la question de savoir qu'est ce qu'il a apporté lui en particulier à cette nation (Congo) pour sa bonne marche, et concernant justement sa haine viscérale envers l'homme blanc au lieu d'apporter la paix ?<br /> c'est bon la critique, mais un constat très simple, Kabila est un homme de paix, depuis sa prise du pouvoir,toutes ses promesses sont entrain d'être réaliser, et ce n'est que dans ce climat que nous pouvons devenir un jour grand, c'est le plus important. Vous avez creusé un trou tellement profond et vous voulez que Kabila le bouche en un seul jour? vous voulez le mettre sur le dos de Kabila votre me-gestion congénital? Citez moi un seul Président Africain qui n'a pas de soutient extérieur.En trente deux ans de pouvoir de Mobutu les Provinces miniers à savoir le Katanga et le Kasaî ont enrichis qui? n'est pas que celles-ci étaient les cuisines et Kinshasa la salle à manger. Qui a volé qui? Aujourd'hui les même personnes par la magie de la Démocratie se retrouvent tous à Kinshasa,vous voulez qu'on les tues? vous faite surement parti de ces aigris d'hier à qui ont a arraché le bifteck de la bouche, qui sont fort en critique et nul en action. Avec qui vous avez partagé les richesses du Congo?.Kabila est un patriote et aime sont pays, car nous le voyons par ces actes. Il n'a pas besoin de faire des discours auxquels nous étions habitué riche en promesse, mais vide dans la pratique. Je suis d'accord avec vous sur un point, à savoir que le l'homme blanc ne viendra jamais faire le bonheur du noir, et je n'ai jamais était d'accord avec toutes ces institutions monétaires Internationaux qui ne sont que des instruments mis aux services des ces même colonisateurs pour nous abrutir et non nous enrichir. Mais qui a était complice du blanc pendant 32 ans? Sachant très bien que le congolais souffrait, qui a dépensé cette argent emprunter pour des futilités? Pendant 32 ans qui a servit le maître blanc les richesses du Congo? Et finalement, Qui se moque de qui?. <br /> Joseph est mon Président, doit faire l'objet du respect,car vous ne le connaissez pas très bien monsieur KOLO CONGO, comme si le Congo vous appartenait à vous seul.Je vous donne un proverbe africain," Un ruminant avale l'herbe qu'il broute tous le long de la journée, il la stock dans une poche secondaire, mais la nuit quand il va au repos, il renvoi tous ce qu'il a avalé pendant la journée, trie la bonne herbe il mange, et jette ce qui est mauvais.Cela veut dire qu'avant de trop parler il faut réfléchir. Nous étions habitués par le passé aux discours tapageurs, mais vide, murissons nos propos avant des les écrire. Kabila, Voila un still de gouvernance auquel vous n'étiez pas habitué que vous devez apprendre à faire avec.<br /> Je suis parfois triste d'entendre des critiques et des leçons nous donner par ceux-la qui ont réduit Le Congo au niveau d'un village, parce que la Démocratie les a blanchi. Il devraient avoir honte de paraitre en publique, heureusement qu'ils ont pris soins d'abrutir la majeur partie des congolais qui ne comprennent rien de la Politique.<br /> Mais les choses sont entrain de changer, le peuple congolais est en train de vivre les réalisations en RDC et bon nombre de toute ces personnes qui ne comprenait rien, commence à se poser des questions maintenant, à savoir comment? Kabila en si peu de temps réalise ce que les autres donneurs de leçons n'ont pas pu faire en trente deux ans de pouvoir.<br /> Qui ne sait pas que ce monde est dirigé par les grandes puissances? les même qui ont donnés de l'argent à Mobutu et ses paires, aujourd'hui ils donne aussi à Joseph Kabila,la question majeur, c'est savoir affecter ce argent pour la reconstruction de Congo qui a était détruit, est devenu un village après 32 ans de règne Mobutiste. De quoi reproche t-on à Kabila? le remboursement de la dette de 14.000.000,00 $ de la dette que vous avez laissez? où de contracter encore des dettes pour réparer ce que vous avez détruit? Tous cela a des répercussions sur le plan social, économique et j'en passe. Soyez calme et serein car le bilan sera faite à la fin de son mandat et en ce moment là que nous verrons par où la balance va tomber, dans le Positif où Négatif par rapport au bilan de 32 ans de règne sans partage.<br /> <br /> ILUNGA NYANVIE
K
mes freres , on perd le temps pour rien ,on va se demander des questions et la reponse est simple l'homme blanc n'a pas notre souci. ils n'ont pas pitie' de l'homme noir , et l'homme noir son ennemi , c'est nous meme . ce l'esclavage entre nous les noirs . l'homme noir n'a pas l'amour de son prochain . pitie/joseph k
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