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BANA CONGO
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7 janvier 2007

LE CARDINAL ETSOU FREDERIC N'EST PLUS

CONGOLAIS, CONGOLAISES, AMIS SINCERES DU CONGO-KINSHASA

LE CARDINAL ETSOU FREDERIC N'EST PLUS.

IL VIENT DE NOUS QUITTER CE SAMEDI 06/01/2007

AUX ENVIRONS DE 20h 50

A LA CLINIQUE UNIVERSITAIRE DE LEUVEN, Gasthuisberg. 

QUE DIEU TOUT-PUISSANT PRSERVE SON AME !

CEUX QUI ONT ASSISTE A LA MESSE EN SOUVENIR DES MARTYRS DE L'INDEPENDANCE A L'EGLISE ST ROCH LE JEUDI 04 JANVIER 2007, ONT PU ECOUTER LE MESSAGE QU'IL ADRESSAIT A LA COMMUNAUTE CONGOLAISE PAR LA VOIX DES DEUX PRETRES QUI LE REPRESENTAIENT :

AMOUR, FOI, ESPERANCE. 

BOLINGO, BOYAMBI, ELIKYA.

RETROUVONS-NOUS CE DIMANCHE 07/01/07 à 10h A LA GARE DU NORD DE BRUXELLES (GRAND HALL) POUR ALLER LUI RENDRE UN ULTIME HOMMAGE.

LES PATRIOTES CONGOLAIS DE BELGIQUE

CONTACTS : 0477 85 72 73 - 0486 11 52 41

BANA CONGO : 0484 55 0122 - 0476 96 76 03

Décès du Cal ETSOU Frédéric : Mort naturelle ou Assassinat (Empoisonnement) par Hyppolite KANAMBE, James Kabarebe, Azarias Ruberwa et Paul KAGAME ?

Voici ce que déclarait le Cardinal ETSOU dans son homélie du dimanche 23 avril 2006 à Kinshasa :

"Vous avez laissé ce pays entre les mains des ETRANGERS qui sont en train de le diviser !"

Voici quelques extraits décisifs de "Crimes Organisés en Afrique Centrale", le livre-document explosif, prophétique et terriblement prémonitoire du Président de l'APARECO, M. Honoré NGBANDA NZAMBO KO ATUMBA (Editions Duboiris, Paris, 2005) qui viennent projeter une lumière crue, inquiétante et troublante sur la mort du courageux Cardinal ETSOU Frédéric.

Extrait N° 1

"Je dis à tous mes compatriotes que la situation est très grave, qu'il n'est plus question de parler, de parler, de parler encore. KAGAME est vraiment décidé à prendre notre pays par la force avec ses princupaux soutiens. Si vous en doutez toujours, je vous en apporte une preuve supplémentaire. Le 15 mai 2004, nos réseaux de renseignement ont intercepté un autre message de James KABAREBE (muleliberation@voila.fr) à Azarias RUBERWA (ruga@hotmail.com)

Voici son contenu : (A l'issue de la rencontre avec Kagame (01RK), il a donné l'ordre de déclencher les opérations.....)"

(Crimes organisés en Afr. Centr., page 329)

Extrait N° 2

"Mes recherches m'ont permis de découvrir que le vice-président Azarias Ruberwa constitue une pièce maîtresse dans le dispositif actuel de Paul KAGAME en RDC. En effet, sous les ordres personnels du chef d'état-major de l'armée rwandaise, le général James Kabarebe, RUBERWA applique fidèlement les instructions qui lui sont données depuis KIGALI par KAGAME en personne. Il dicte et oriente la transition dans notre pays." (op. cit. page 320)

Extrait N° 3

"Dans le courrier électronique du 18 mai 2004, James KABAREBE transmet les chaleureuses félicitations de KAGAME à RUBERWA pour la qualité de son travail : "Maintenant, nous nous rendons compte que tu mérites ta place. Même KAGAME est très satisfait..." Voilà pourquoi KAGAME a remplacé ONUSUMBA à la tête du RCD à la dernière minute ! Car, des missions d'élimination des personnalités congolaises sont aussi programmées : (....) et d'autres, ont été ciblés pour être éliminés par empoisonnement.

Nous avions pris soin de prévénir très rapidement par le biais de personnes interposées (.....) pour éviter l'élimination de ces cadres compétents de notre pays. Leur réaction provoqua des fuites d'information qui sont parvenues aussitôt à KIGALI. Et cela a valu à RUBERWA la colère de KAGAME et de KABAREBE dans une autre correspondance du 20 mai où il fut proprement réprimandé par eux."     (op. cit. p. 340-41)

Extrait N° 4

"Le 6 avril 2004, le chef d'état-major de l'Armée Patriotique Rwandaise, James KABAREBE, envoie un courrier électronique au vice-président Azarias RUBERWA pour lui dire : "Nous vous remercions infiniment car vous gardez votre position. Hima USA ont envoyé les colis concernant l'OP. Ayez d'abord le contrôle de la ville de Gombe (...) N'ayez pas peur car nous sommes déjà prêts."

(op. cit. 321)

Extrait N° 5

"A la lumière des informations dont je dispose, je peux affirmer que toutes nos institutions de la transition, sans exception, sont noyautées par KAGAME et ses hommes au pouvoir à Kinshasa. Notre pays est pris en otage ! Les Congolais aussi."

(Crimes Organisés en Afrique Centrale, page 340)

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